Marjolaine Piémont

Biographie

Marjolaine Piémont porte le prénom d’une herbe aromatique et démontre avec humour qu’elle n’a rien
d’une plante verte. Elle se définit dans ce premier EP comme étant « Presqu’un animal ». Elle ne griffe
pas, juste égratigne en douceur. Un premier EP à découvrir sur toutes les plateformes le 3 octobre !

Marjolaine livre avec élégance ses textes mordants. D’une voix duveteuse, elle pique avec désinvolture
et n’hésite pas à appeler un chat un chat. Venez découvrir sa patte sur le premier single de cet EP « A
quoi ça sert ». Même si des instruments soufflent des vents contraires, Marjolaine Piémont s’érige et
porte haut la parole d’une femme qui petite, disait «
Quand je serai grande, je serai…. Un homme
» !

Un matin de janvier 1994. Strasbourg, rue Gounod. Une affiche de Barbara en concert. Et c’est un
hurlement qui retentit dans une voiture. Oui, c’est Marjolaine qui a crié de joie, son père qui a pilé et de
peu, l’accident est évité. Mais dans les yeux de Marjolaine, des étoiles ont brillé.

Enfin, elle va pouvoir découvrir cette femme qui l’émeut profondément par ses chansons et sa voix de
cristal. De ses reprises de Yvette Guilbert au Mal de Vivre ou Nantes, c’est toute une palette
d’émotions dont Barbara a le secret, qui bouleverse Marjolaine.

Barbara lui donne envie de faire des infidélités à Purcell et Schubert. Car Marjolaine Piémont prend des
cours de chant au Conservatoire. Elle chante très aigu, se passionne pour ces héroïnes créées de
toutes pièces par des hommes Carmen, la Reine de la Nuit, Norma,… Mais c’est décidé, Marjolaine
Piémont ne chantera plus que des chansons. Des chansons de femme. En langue française. Cette
chanson qui a bien plus d’un tour dans son disque, qui nourrit, submerge, apaise et laisse dans son
sillon les empreintes du rapport entre les hommes et les femmes.

Assoiffée de liberté, Marjolaine Piémont prend des trains à travers la plaine d’Alsace et arrive à Paris.
L’histoire commence royalement avec Pierre Cardin qui lui offre son premier contrat chez Maxim’s. Elle
arpente les scènes des caves de Saint Germain des Prés aux toits de Montmartre, de bars bondés en
salles clairsemées, de Kaliningrad à Abidjan, et chante même en japonais ; le Japon, son pays
d’adoption qui lui propose de chanter lors de la tournée Hit Songs des chansons françaises.

D’aventure en aventure, elle participe à des équipées fantastiques telles que Sol en Cirque ou Mozart
l’Opéra Rock.

Cigale, Marjolaine chante mais travaille à aiguiser sa plume. A comprendre le pouvoir des mots. Elle
se met en quête de mentor au féminin. Elles cherchent ces absentes des livres d’histoire, des noms
des rues et des épreuves du baccalauréat. Quid de ces illustres femmes qui ne gisent encore et toujours pas au Panthéon ?

De sa rencontre avec des compositeurs tels que Vincent Baguian, Phil Baron ou Aldebert, Marjolaine
accompagnée par le groupe Zago, va séduire peu à peu par ses chansons, des tremplins et des
festivals « Muzik’Elles », « Le Mans cité Chansons », Les fils de Georges », « Changez d’air » ou encore
« le Tremplin de Poupet ». En octobre 2016 sort son premier EP « Presqu’un animal ».

Ses chansons sont mises sur un piédestal grâce à Edith Fambuena et William Rousseau qui confèrent
à cet opus des reflets cuivrés, des boucles et des refrains entêtants.

« Presqu’un animal », c’est de la chanson française féminine piquante comme les poils d’un homme.
Et elle s’apprête à le présenter en tournée dans toute la France.

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